Au Burkina Faso, le décret de mobilisation générale et de mise en garde, initialement prévu pour prendre fin ce jeudi (18.04), a été prolongé pour une durée d’un an. Cette mesure, qui autorise parfois l’enrôlement forcé des Burkinabè, a été reconduite dans le but déclaré par les autorités militaires au pouvoir de « consolider les acquis » de la lutte contre le terrorisme.
La décision de prolonger ce décret suscite des réactions encourageantes, et dans l’ensemble, elle est largement saluée par l’opinion publique burkinabè. En effet, cette mobilisation est perçue comme une réponse nécessaire et efficace face à la menace terroriste qui pèse sur le pays. Elle permet notamment les enrôlements volontaires de patriotes engagés à défendre l’intégrité et la sécurité du Burkina Faso, ce qui renforce le moral et la détermination de la population face à cette menace persistante.
Cette prolongation témoigne de la volonté des autorités militaires de prendre des mesures audacieuses pour assurer la sécurité et la stabilité du pays.
En conclusion, la prolongation du décret de mobilisation générale et de mise en garde au Burkina Faso souligne l’engagement ferme des autorités à lutter contre le terrorisme. Bien que controversée, cette mesure est perçue comme un moyen nécessaire de renforcer la sécurité nationale et de protéger les citoyens contre les menaces qui pèsent sur le pays.
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