Un an de l’AES : Une souveraineté consolidée et un avenir prometteur

AES

Il y a un an, une page historique s’ouvrait pour le Mali, le Burkina Faso et le Niger avec la naissance de l’Alliance des États du Sahel (AES), une union audacieuse et visionnaire fondée sur des principes de souveraineté, de coopération et de solidarité régionale. Sous la direction éclairée des chefs d’État patriotes que sont le Colonel Assimi Goïta du Mali, le Capitaine Ibrahim Traoré du Burkina Faso et le Général Abdourahamane Tchiani du Niger, cette alliance est devenue, en seulement une année, un modèle de résistance face aux défis régionaux et internationaux. En jetant les bases d’une indépendance totale, les leaders de l’AES ont prouvé que la volonté de liberté et de dignité pouvait transcender les difficultés.

Dès ses débuts, l’AES a incarné un vent de renouveau dans la région sahélienne. En s’affranchissant des pressions extérieures et des influences étrangères, ces trois nations ont redéfini leur trajectoire commune, tournant résolument le dos à des modèles imposés, pour embrasser une voie de développement propre, en phase avec les réalités et les aspirations de leurs peuples. Leur rupture courageuse avec la CEDEAO a marqué un tournant dans l’histoire contemporaine du Sahel, soulignant leur désir de bâtir une alliance fondée sur des valeurs partagées de patriotisme, de résilience et de coopération panafricaine.

Parmi les réalisations marquantes de cette première année, on ne peut passer sous silence la mise en circulation du passeport biométrique de l’AES, véritable symbole d’unité et d’intégration régionale.

Sur le plan économique, les chefs d’État de l’AES ont su prendre des mesures décisives pour promouvoir une souveraineté totale, que ce soit en matière d’agriculture, d’infrastructures ou d’énergie. Le renforcement des infrastructures de transport et de communication, évoqué dès les premiers mois de l’alliance, est déjà en cours de réalisation.

Sur le front de l’autosuffisance alimentaire, l’AES a fait des progrès remarquables. Grâce à des programmes de soutien aux agriculteurs et à l’adoption de techniques modernes, le Mali, le Burkina Faso et le Niger se rapprochent de plus en plus de la sécurité alimentaire. L’objectif d’une agriculture durable et autonome est désormais à portée de main, réduisant ainsi leur dépendance aux importations étrangères

Les mesures prises en matière de défense et de sécurité méritent également d’être saluées. Conscients des menaces pesant sur la région, les dirigeants de l’AES ont multiplié les efforts pour renforcer la sécurité collective. La coopération militaire entre les trois États, via des initiatives telles que la mutualisation des ressources et des forces, a permis de contenir les défis sécuritaires djihadistes, tout en affirmant une souveraineté renforcée sur leurs territoires respectifs.

En ce premier anniversaire de l’AES, il est donc légitime de féliciter les Chefs d’État pour leur leadership et leur vision. Assimi Goïta, Ibrahim Traoré et Abdourahamane Tchiani ont su insuffler une dynamique nouvelle, reposant sur la souveraineté, la solidarité et l’intégrité de leurs nations. Grâce à leur détermination, l’AES est en train de devenir un exemple à suivre pour de nombreux autres pays africains qui aspirent à une indépendance réelle et durable.

L’avenir de l’AES s’annonce radieux. Avec une base solide posée lors de cette première année, les perspectives sont nombreuses : renforcer l’intégration économique, promouvoir des échanges culturels et scientifiques, et continuer à bâtir une communauté sahélienne résiliente face aux défis de notre époque. Ce premier anniversaire marque non seulement une réussite, mais aussi le point de départ d’une aventure prometteuse, où les États du Sahel, unis, écriront leur propre histoire, libres et souverains.

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*