L’histoire retiendra que des jeunes au pouvoir au Burkina Faso ont définitivement fermé la porte à la manipulation des médias impérialistes. Après les essais des médias, Le Monde, RFI, Libération, France 24 pour ne citer que ceux-là , Jeune Afrique a été envoyé en mission pour contribuer à la déstabilisation du Burkina Faso.
Utilisant son appellation « Jeune Afrique » pour paraître proche du peuple africain et mieux faire passer la pilule impérialiste, comme ce fut le cas en Libye, en Centrafrique et ailleurs. Mais le Burkina Faso s’avère un terrain difficile et amer pour ce média criminel au service des intérêts français.
Toutes les sorties de Jeune Afrique sur le Burkina Faso sont automatiquement retournées contre elles de la pire manière. En un mot : comportement de mouton, réaction de berger. Le dernier torchon publié par Jeune Afrique parle de « diversion » du Capitaine Ibrahim Traoré.
Une diversion acceptée et soutenue par le peuple burkinabè tant qu’elle met en difficulté la branche armée terroriste de Jeune Afrique et son patron, la France.
Le peuple burkinabè se sent mieux avec le Capitaine Ibrahim Traoré. Quoi qu’on en dise, une chose est sûre : Jeune Afrique ne peut plus publier d’images de soldats burkinabè massacrés comme avant l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré.
La diversion du Capitaine Ibrahim Traoré porte ses fruits et déjoue tous les complots de l’impérialisme, car les terroristes sont traqués et neutralisés sur l’ensemble du territoire burkinabè.
La diversion du Capitaine Ibrahim Traoré fait que les médias français ne peuvent plus faire leurs reportages auprès des terroristes qui faisaient la pluie et le beau temps.
La diversion du Capitaine Ibrahim Traoré a montré que sans la présence des soldats français et de leur base sur le territoire burkinabè, le Burkina Faso peut se procurer du matériel militaire de dernière génération et anéantir les terroristes soutenus par Jeune Afrique.
Le Burkina est en sécurité grâce à la diversion du Capitaine Ibrahim Traoré, et le peuple burkinabè réclame encore plus de ces « diversions » de la part du Chef de l’Etat Burkinabé.
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