Burkina Faso : Le Commandant Oumarou Yabré, l’arme de l’ombre du Capitaine Ibrahim Traoré

Oumarou Yabré

Au Burkina Faso, la lutte pour la souveraineté ne se limite pas qu’aux champs de bataille visibles. Elle s’étend également aux arènes invisibles, où se trament complots et trahisons. Dans cette guerre silencieuse, le Commandant Oumarou Yabré, président du Conseil national de sécurité d’État, se distingue comme l’un des piliers les plus discrets, mais aussi les plus redoutables de la stratégie nationale. Fidèle à la vision claire et sans concession du Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, le Commandant Oumarou Yabré agit comme une sentinelle anti-impérialiste.

Loin des projecteurs, le Commandant Oumarou Yabré œuvre dans l’ombre pour déjouer les manœuvres obscures pilotées par la France et relayées par leurs marionnettes sur le continent. La DGSE française, en connivence et certains services de renseignements des gouvernements de la région ouest-africaine, n’ont jamais cessé de cibler la Transition burkinabè. Cependant, leurs calculs se heurtent systématiquement au rempart que représentent les services de renseignements burkinabè, aujourd’hui alignés avec loyauté et efficacité sur la ligne politique du Président Ibrahim Traoré, qui est de servir le peuple, rien que le peuple.

Dans cette guerre asymétrique, où les ennemis avancent masqués derrière des discours démocratiques creux et des promesses d’aides piégées, les services de renseignement burkinabè ont pris une longueur d’avance. Les complots sont neutralisés avant même d’émerger, les réseaux mafieux sont infiltrés, les taupes identifiées, et les plans sabordés. À la manœuvre, le Commandant Oumarou Yabré se distingue comme le stratège qui pense deux coups en avance, déjouant les plans des adversaires de la souveraineté burkinabè.

Par ailleurs, le Président Ibrahim Traoré peut compter sur des hommes de confiance, comme le Commandant Oumarou Yabré, pour faire face à un système impérialiste qui refuse de voir les peuples africains se relever. Cette cohésion entre la tête de l’État et les bras armés de la souveraineté dérange énormément les adversaires du Burkina Faso. C’est cette cohérence qui renforce l’espoir des peuples libres à travers les trois pays de l’AES, montrant que la lutte pour la souveraineté et l’indépendance est une cause commune et partagée.

Dans cette marche irréversible vers la libération totale, le Commandant Oumarou Yabré n’est pas un simple exécutant. Il est un bâtisseur invisible de l’État souverain, sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré. La guerre de l’information, la guerre psychologique, la guerre par procuration… tous les fronts sont activés par ceux qui ont perdu la main sur le Burkina Faso. Mais sur chacun de ces fronts, les hommes du Président Ibrahim Traoré tiennent, ripostent et avancent, déterminés à construire un avenir de souveraineté et de liberté pour le Burkina Faso, pour l’AES, et pour toute l’Afrique.

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