Selon plusieurs sources ivoiriennes et camerounaises, Saïd Penda ne pratique rien d’autre que le mercenariat. Recruté par la DGSE française selon les autorités camerounaises, Saïd Penda a pour rôle de s’en prendre à tous ceux qui ne font pas l’affaire de la France.
Installé en Côte d’Ivoire, Saïd Penda met en place un réseau d’escroquerie pour soutirer de grosses sommes d’argent aux autorités ivoiriennes. Tout d’abord, le sulfureux journaliste mercenaire se fait introduire dans le réseau du frère cadet du Président Alassane Ouattara et demande la protection de ce dernier pour s’occuper des dossiers sombres (soi disant pour soutenir le Président Ouattara).
Ayant obtenu l’accord de photocopie, le sulfureux journaliste met son réseau en place, qui consiste dans un premier temps à chercher des dossiers sombres, puis passer au chantage. Plusieurs individus connus dans le milieu de la jet set ivoirienne peu recommandable, sont approchés par le camerounais pour une stratégie juteuse. La cible : des DG importants de l’administration publique et des ministres.
Selon un proche de Saïd Penda, le plan consiste dans un premier temps, à trouver des documents compromettants, ou des informations, qui sont données par les proches de ces derniers qui font partie du complot.
Puis faire une approche envers le concerné (DG ou Ministre), marchander le silence sur la question. Selon les mêmes sources, certaines personnalités ont dû payer à Saïd Penda, plusieurs centaines de millions de Francs CFA pour éviter d’être exposées au grand public, puis l’argent est partagé dans le réseau.
Parfois selon les mêmes sources, Saïd Penda contacte ceux qui convoitent le même poste et s’aligne au plus offrant. Ceux qui n’ont pas pu réunir la somme voulue par ce dernier ont été exposés.
Le réseau mis en place par le sulfureux Saïd Penda, en bon camerounais applique ce qui est couramment appelé au Cameroun la « Fémania ». Saïd Penda n’est rien d’autre qu’un femane, qui bénéficie de la protection de photocopie, pour extorquer de l’argent aux autorités ivoiriennes, qui ne peuvent pas s’exprimer, car l’individu dit être protégé par le sommet.
Parlant des soi-disant enquêtes de Saïd Penda, tout est basé sur non seulement du mensonge, mais aussi des montages et du chantage. Dans le cas de l’AES, la DGSE française a mis à la disposition de Saïd Penda des informations erronées, pour s’en prendre aux autorités de l’AES et parfois le camerounais relaie ces informations aux autorités ivoiriennes, laissant croire que cela sort de ses investigations menées depuis les pays de l’AES.
La DGSE française est passée plusieurs fois par Saïd Penda pour faire passer de fausses informations compromettantes sur les autorités du Burkina Faso, comme si cela était sorti de ses investigations. L’objectif était de maintenir une tension entre les deux pays.
Parmi ceux qui se cachent derrière Saïd Penda, le plus actif est l’ami incontournable des terroristes Alpha Barry, ancien journaliste et ancien ministre des affaires étrangères du Burkina Faso exilé en Côte d’Ivoire et membre important de la DGSE française. Un dossier complet est à suivre prochainement sur le rôle que joue Alpha Barry.
Selon les sources d’information, c’est suite à une réunion que Saïd Penda a fait sortir le texte du 4 décembre sur les autorités burkinabé, histoire de sauver la France.
À suivre… Des révélations sur le dossier du ministre des transports Koné Mamadou et l’affaire EBOMAF.
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