Face aux attaques incessantes d’activistes et d’exilés basés en Côte d’Ivoire contre le Burkina Faso, Ibrahima Maïga, un patriote convaincu, a décidé de sortir de son silence pour dénoncer ces pratiques mafieuses. Cependant, cette légitime défense lui a valu de devenir la cible d’une campagne de diffamation orchestrée par des forces bien identifiées : la France, la DGSE et certains acteurs et apatrides tapis dans l’ombre en Côte d’Ivoire, déterminés à museler toute voix qui défend la souveraineté du Burkina Faso.
Les actions des apatrides et exilés Burkinabé opérant depuis la Côte d’Ivoire, qui manipulent les réseaux sociaux pour semer la discorde entre les deux nations, soulèvent des interrogations. Pourquoi les organes ivoiriens de lutte contre la cybercriminalité, capables de traquer de simples jeunes Ivoiriens qui exhibent des billets de banque, ne parviennent-ils pas à neutraliser ces apatrides qui mettent en péril la stabilité entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire ?
Les autorités ivoiriennes ont ici une responsabilité cruciale. En prenant des mesures concrètes pour identifier et mettre hors d’état de nuire ces instigateurs de troubles, elles contribueraient non seulement à apaiser les tensions entre les deux pays, mais également à restaurer les relations fraternelles d’antan entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.
L’initiative du patriote Burkinabé Ibrahima Maïga reflète le ras-le-bol général du peuple burkinabé face à ces attaques. L’arrêt des hostilités pourrait être immédiat si les autorités ivoiriennes arrêtent de jouer à l’hypocrisie et décident de mettre un terme aux agissements nuisibles de ces exilés.
Par ailleurs, en défendant sa nation, Ibrahima Maïga incarne la résilience d’un Burkina Faso déterminé à préserver sa souveraineté et à rejeter toute tentative de déstabilisation externe.
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