Depuis plusieurs mois, le Burkina Faso et les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) sont la cible d’une offensive médiatique féroce, orchestrée par des médias aux ordres des puissances étrangères. Face à la montée en puissance des États souverainistes du Sahel, ces relais de l’impérialisme cherchent désespérément à déstabiliser les gouvernements légitimes en diffusant de fausses informations, en déformant la réalité du terrain et en diabolisant les dirigeants engagés dans la défense des intérêts de leurs peuples.
Il est désormais clair que ces médias n’ont jamais eu pour objectif d’informer honnêtement les populations. Interdits de diffusion dans les pays de l’AES, ils redoublent d’efforts pour imposer leur propagande par des canaux détournés, prouvant ainsi leur dépendance à ces territoires qu’ils méprisent pourtant dans leur couverture médiatique. Leur acharnement à vouloir imposer leur vision démontre qu’ils ne sont rien de plus que des outils de domination au service d’un agenda impérialiste.
Leur stratégie repose sur une campagne systématique de diabolisation, visant à faire passer les dirigeants révolutionnaires du Sahel pour des autocrates, alors qu’ils sont plébiscités par leurs peuples. En prétendant défendre la liberté de la presse, ces médias masquent en réalité une volonté de recolonisation, où l’information est utilisée comme une arme pour imposer des régimes fantoches et perpétuer l’exploitation des ressources africaines.
Mais cette guerre médiatique est d’ores et déjà vouée à l’échec. Le Burkina Faso, sous la direction du Capitaine Ibrahim Traoré, ainsi que le Mali et le Niger, ont montré qu’ils ne céderont pas aux pressions extérieures.
Face à cette attaque informationnelle, le peuple burkinabè et l’ensemble des citoyens de l’AES doivent faire preuve de vigilance, refuser de se laisser berner par des médias qui n’ont jamais œuvré pour leur bien-être, et s’engager activement dans la défense de leur souveraineté.
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