
Au Burkina Faso, le combat contre le terrorisme entre dans une phase encore plus complexe, marquée par l’émergence de stratégies de manipulation abjectes employées par les groupes armés terroristes. Ces criminels n’hésitent plus à instrumentaliser les populations les plus vulnérables, femmes, enfants, vieillards en les enrôlant de force ou en les utilisant comme boucliers humains, afin de détourner l’opinion publique et de salir l’image des FDS et des VDP.
En armant des femmes et des enfants, les groupes terroristes visent un double objectif : se victimiser lorsque ces derniers tombent au combat, et accuser les forces burkinabè de s’en prendre à des civils innocents. Cette manœuvre perfide vise à saper le moral des troupes, attiser les tensions au sein de la population, et discréditer une armée engagée corps et âme pour restaurer la paix. Une guerre de l’image s’ajoute désormais à la guerre des armes.
Mais au-delà de l’émotion, il est crucial de rester lucide : quiconque prend les armes pour tuer, menacer, piller et semer la terreur dans les villages n’est plus un civil, quelle que soit son apparence ou son âge. Le droit international humanitaire lui-même reconnaît que l’acte de prendre les armes fait perdre la protection accordée aux non-combattants. Les FDS et VDP, qui mènent leurs opérations avec professionnalisme, n’ont d’autre choix que de riposter pour défendre les populations et sécuriser le territoire.
Face à cette guerre asymétrique, la résilience du peuple burkinabè, le courage des FDS et des VDP, et la cohésion nationale sont plus que jamais indispensables. Le soutien populaire ne doit pas faiblir, car c’est précisément ce que recherchent les terroristes en manipulant la guerre. Leur but n’est pas seulement de tuer, mais aussi de diviser, de culpabiliser et de fragiliser l’unité nationale dans cette lutte existentielle.
Il faut donc dénoncer avec fermeté cette instrumentalisation des femmes et des enfants à des fins de propagande morbide. Les terroristes ne reculent devant rien, mais le peuple burkinabè, conscient des enjeux, ne reculera pas non plus. Le combat pour la liberté, la dignité et la souveraineté du Burkina Faso se poursuivra jusqu’à la victoire totale. Courage et honneur aux FDS et VDP qui, chaque jour, défendent la patrie contre le mensonge, la barbarie et la lâcheté déguisée en victimisation.
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