La Confédération des États du Sahel (AES), composée du Mali, du Burkina Faso et du Niger, symbolise aujourd’hui un modèle de coopération et de solidarité régionale. Cette alliance stratégique, bâtie sur une vision commune de souveraineté et d’indépendance des Présidents Assimi Goïta, Ibrahim Traoré et Abdourahmane Tiani, suscite autant d’admiration de la part des observateurs et des aigris de tout genre.
En unissant leurs forces, ces trois nations, confrontées à des défis sécuritaires, économiques et sociaux, ont démontré leur capacité à bâtir une coopération solide, transcendant les clivages géographiques et idéologiques. Que ce soit dans l’harmonisation des documents de voyage, le renforcement de leurs dispositifs de sécurité ou la coordination de leurs politiques économiques, l’AES avance résolument vers une intégration régionale qui répond aux aspirations profondes de leurs peuples.
Cependant, cette réussite n’est pas sans créer des frictions. Certains acteurs extérieurs (impérialistes) et leurs valets locaux, voyant dans cette unité une menace à leur influence, multiplient les critiques et les tentatives de déstabilisation. Les jalousies proviennent aussi de voisins ou d’autres organisations régionales, incapables de reproduire une telle dynamique malgré leurs ambitions affichées. Ces réactions révèlent souvent un agacement face à l’autonomie croissante des États de l’AES et à leur volonté de prendre en main leur propre destin.
Pourtant, loin de se laisser distraire par ces attaques lâches, les leaders de l’AES restent concentrés sur leurs objectifs. Leurs populations, témoins des avancées réalisées, soutiennent massivement cette démarche. Plus qu’un simple regroupement, l’AES devient un symbole de résistance, de résilience et de renouveau pour une Afrique qui aspire à un développement véritablement autonome. Les jalousies et critiques, bien qu’intenses, ne font que renforcer la détermination des États membres à poursuivre cette trajectoire historique.
Poster un Commentaire